David
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Du 12 au 14 septembre Irrintzina effectue ses derniers préparatifs avant d'entamer une ballade de 4 mois en direction de la Martinique.

Qui suis-je ?

• Professionnel :
  Créateur de sites internet et Formateur indépendant (informatique et sextant).
  J'ai été par le passé : représentant, responsable de service informatique, chef de convoi humanitaire.

• Loisirs :
  - Voile (un First 22 mouillé au Pouldu Finistère) je navigue depuis l'age de 6 ans. ,
  - Escalade, Kayak, Moto (XJ900 (solo) et BFG1300 (side-car).

• Accessoirement :
  -bilingue anglais, espagnol parlé, expérience des voyages (17 pays sur 4 continents).

• Signes particuliers :
  - comme vous pouvez le voir sur la photo : barbu et unijambiste.

Quelques photos de ma transat 2002-2003

Après trois semaines dans l'archipel, François et moi sommes partis pour les Canaries.
Là, stop un mois, réparti entre Las Palmas et Santa Cruz. Lors des dernières vérifications avant de partir pour le Cap Vert, je pris la photo située en dessous à gauche.
De Santa Cruz à Saal, Eole et Neptune ont été un peu durs avec nous, mais arrivé au Cap Vert, quelle récompense... Soleil, douceur, paysages splendides... Là, c'est moi, à Santa Lucia.

Le 13 septembre 2002, j' ai intégré l'équipage d'Irrintzina. Celui-ci se composait alors de François Guillot (skipper et propriétaire), et de Laurent Bonnet-Piron (équipier qui devait nous quitter à la Corogne). La traversée du Golfe de Gascogne se passa sans encombres. Après quelques jours à La Corogne, nous sommes repartis en direction de Porto Santo, puis Madère. Que vous pouvez peut-être reconnaître ci-dessus?

Le 25 décembre 2002, 9h00, on lève l'ancre. Direction Le Marin (La Martinique). Chevauchant la grande houle de l'Atlantique, nous y arriveront en 17 jours et 4 heures.

Pour moi, c'était l'accomplissement d'un rêve de gosse, l'inespéré réalisé. Mais vous savez ce que c'est, on y prend goût, et me voilà donc à chercher un autre embarquement.

Et voilà la fine équipe (moi, j'ai la barbe, et le boss est côté bateau), dans le port du Marin (La Martinique) où je quittai le bord pour revenir par avion en métropole.